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Aujourd'hui ces études n'ont pas beaucoup de sens. En effet :
- les allergènes utilisés dans les deux techniques ne sont pas les mêmes (en termes d'origine et de fabrication) ;
- les allergènes ne sont pas standardisés, donc la reproductibilité et les comparaisons sont impossibles ;
- aucun seuil de positivité n'existe dans le monde de la biologie vétérinaire pour ces examens ;
- il n'existe aucun standard pour étalonner les techniques pour chaque allergène, donc chaque laboratoire est libre de définir au doigt mouiller les seuils de positivité.
A force publier des études ineptes, on nuit à l'allergologie vétérinaire et on entretient le doute sur l'intérêt de ces examens. Ou bien c'est l'inverse, en publiant ainsi on entretient le vernis, on fait briller l'objet en toc.