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Une étude thaïlandaise, faite chez l’homme, montre que les populations de Malassezia sont plus nombreuses sur la peau du visage des personnes vivant dans des zones urbaines très polluées (essentiellement la teneur en microparticules) par rapport à des zones moins polluées avec les mêmes indices d’exposition UV ou d’humidité relative (1).

La variété du mycobiote est aussi altérée et diminuée.
Ces résultats viennent corroborer ceux obtenus en Chine (2).

L’altération du microbiote cutané par la pollution pourrait expliquer le risque accru de développement de la DA chez l’homme en milieu urbain, mais aussi pourquoi pas chez le chien.

Lire nos autres articles sur pollution et dermatite atopique en cliquant ici

 

Références :
1.    Chueachavalit C, Meephansan J, Payungporn S, Sawaswong V, Chanchaem P, Wongpiyabovorn J, et al. Comparison of Malassezia spp. colonization between human skin exposed to high- and low-ambient air pollution. Exp Dermatol. 2022.
2.    Leung MHY, Tong X, Bastien P, Guinot F, Tenenhaus A, Appenzeller BMR, et al. Changes of the human skin microbiota upon chronic exposure to polycyclic aromatic hydrocarbon pollutants. Microbiome. 2020;8(1):100.

 

Tag(s) : #dermatite atopique, #dermatite atopique canine, #pollution, #malasssezia
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