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Les équipes coréennes se sont fait une spécialité de l’étude de la pollution aux particules fines dans les habitats et la possible relation avec des risques accrus de développement de dermatite atopique chez le chien.

Nouvel épisode de cette saga débutante, l’étude de la relation entre présence de moisissures sur les murs, concentration d’aflatoxine dans la poussière et manifestations cliniques de DAC.

Les auteurs se sont attachés à comparer deux groupes de chiens, atteints de DAC et sains en étudiant la pollution par les moisissures de leur environnement.

La concentration de PM10 est significativement plus élevée dans le groupe DAC et dans le sous-groupe des appartements présentant des traces de moisissures. D’autre part, les concentrations d'aflatoxine B1 sont significativement plus élevées dans le groupe DAC que dans le groupe témoin.

Il s’agit d’un nouvel argument en faveur de l’influence de la pollution domestique sur le risque de développement d’une DA chez le chien

(illustration https://www.tallano-technologies.com/faq/particulefinedefinition/)

Ref :

OH, S., HAN, J. & KIM, H. J. (2024) Indoor Mycotoxin Exposure on Atopic Dermatitis in Companion Dogs. Allergy

Tag(s) : #pollution, #mycotoxines, #aflatoxines, #chien, #dermatite atopique canine
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